Martin Bakole a une fois de plus loupé l’occasion de convaincre le monde sportif et, de surcroît, le peuple congolais au travers sa mauvaise stratégie de communication. Après avoir défrayé la chronique au mois de février dernier, le pugiliste congolaise vient une, fois de plus, de taper à côté avec une sortie médiatique mal maîtrisée sur les réseaux sociaux.
Hormis ses exploits sur le ring, Martin Bakole est loin d’être un vrai boxeur professionnel. C’est une habitude, mieux une mauvaise habitude pour le boxeur congolais qui doit faire une bourde à chaque fois qu’il s’apprête à monter sur le ring.
Le chantage pour gagner l’argent!
On dirait que le chantage est devenu le modus operandi de celui qui a défrayé la chronique au mois de février dernier, après avoir demandé et obtenu du gouvernement congolais une bagatelle somme de 100.000$ en espèce pour la préparation d’un combat de Gala en Pologne. Ceci après avoir fait le tour des médias et réseaux sociaux!
Pour attirer l’attention des autorités afin d’organiser son nouveau combat, Bakole veut, cette-fois, ternir l’image du ministre des sports et loisirs Claude François Kabulo mwana ana Kabulo!
Bakole comédie !
À l’en croire, le boxeur atteste avoir appelé, plusieurs fois, le ministre des Sports et Loisirs sans succès. Selon lui, s’il ne défend pas le Congo, c’est la faute au patron des Sports.
Du théâtre, parce que professionnel qu’il est, Bakole ne peut jamais solliciter l’accompagnement du gouvernement, via le ministre des sports, sans passer par la Fédération Congolaise de boxe!
Numéro 2 mondial dans la catégorie des poids lourds dans une fédération de la trempe de la World Boxing Association (WBA), mais sans sponsor ni partenaire ! Une vraie comédie.
Bakole, Kabulo n’est pas ton bouc émissaire. “ Tel est pris qui croyait prendre”. Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose.
Méline Kanza