Depuis près de 7 ans, la République Démocratique du Congo est à la recherche de ce conducteur excellent à l’image du ministre des sports et loisirs Denis Kambayi. Sept années après, l’arrivée de Francois-Claude Kabulo Mwana Kabulo à la tête de ce ministère moteur, est entrain de rabattre les cartes, car les résultats sont de plus visibles et font beaucoup de différence avec ses prédécesseurs.
Voici un tableau assez blanc que nous avons peins aux 100 premiers jours de Francois-Claude Kabulo Mwana Kabulo à la tête du ministère des sports et loisirs.
Sans des États généraux des sports ou table ronde de réflexions pour le changement organisés sous son mandat, mais plutôt avec beaucoup de justesse, des connaissances du domaine et de la volonté irréversible, le ministre des sports et loisirs Francois-Claude Kabulo Mwana Kabulo est entrain de réussir un redressement inattendu du sport congolais.
Ces qualités qui les distinguent des autres
Primo, François Kabulo lui, a compris que le programme gouvernemental et la vision du Chef de l’Etat étaient plus importants que tout pour mieux faire évoluer son secteur. Conséquence, la problématique des infrastructures sportives modernes comme gage d’un point de départ symbolique est entrain d’être résolue petit à petit. Doter chaque provinces d’un stade moderne et des stades municipaux de qualité, un idéal sur le point d’être conclu.
La volonté du ministre de sports et loisirs Francois-Claude Kabulo Mwana Kabulo qui s’en remet entièrement au Chef de l’Etat Félix-AntoineTshisekedi Tshilombo, c’est celà qui fait la différence. Que l’on admette ou pas, l’arrivée de Kabulo rabat les cartes, le stade Tata Raphaël revit, le stade des martyrs obtient son homologation et ainsi les Léopards de la RDC peuvent jouer à nouveau en Septembre prochain et surtout des chances de qualification aussi simples et entrevoyantes que celles de ses prédécesseurs.
Les IXèmes Jeux de la Francophonie sont le deuxième grand événement sportif du pays et ont été une réussite, mais également une nouvelle vie a été donnée au Stade Tata Raphaël et des stades municipaux de qualité arrivent comme le stade Paul Bonga Bonga de Barumbu, du terrain de l’UNIKIN et bien d’autres à l’intérieur du pays. Premier objectif entrain d’être concrétisé pour une pratique professionnelle du football dans le pays.
Les autres qualités : le sérieux, l’esprit du travail, le lobbying, la redynamisation des partenariats bénéfiques pour le pays dans ce secteur comme le Chef de l’Etat l’avait fait à sa prise de pouvoir. Des qualités qui donnent des résultats concrets pour l’avenir dans toutes les disciplines.
Cette vision du Chef de l’Etat que François Kabulo s’attele à suivre à la lettre et au mot
Les fédérations sportives sont de plus en plus organisées, la bancarisation s’installe, les infrastructures sportives modernes sont entrain de voir le jour, non seulement à Kinshasa, mais également en provinces, le Championnat national d’Élite peut rever d’un nouveau format et d’un rayonnement plus large. La motivation est revenue au sein de tout un peuple qui a accouru et veut continuer à accourir dans des stades pour vivre l’ambiance de tous les sports de leurs propres yeux. Les partenaires et les entreprises commerciales locales et internationales ne veulent plus laisser passer l’occasion de s’accrocher à la RDC. Car François Kabulo comprend et partage la grande vision du Premier Sportif du pays Felix Tshisekedi.
Ce jour, plusieurs disciplines sportives en manquent d’abris pour une pratique saine vont en avoir pour des participations à l’extérieur plus efficaces et à impact visible. Le sport féminin congolais revalorisé et peut bosculer plusieurs nations.
En clair, la vision est de rendre la RDC capable de gagner des organisations des événements culturels et sportifs continentaux et mondiaux, afin de faire rehausser une belle image du pays, se vendre et face aux projecteurs du reste du monde qui seront redirigés vers le pays, l’on parlera de nous, de nos potentialités et reviendrait sur le haut du tableau comme la France, la Belgique, l’Argentine, Sénégal, Maroc et autre monde, puisque le vivier de la RDC et les diversités culturelles que regorgent le pays, peuvent permettre l’atteinte de ce grand objectif de développement.
François Kabulo le vouloir ou pas, qu’il plaise ou pas, à certaines personnes mal intentionné, assure jusque là bien la manœuvre, car Fatshi Cup et les IXès Jeux de la Francophonie ont dégagé des problématiques claires pour mieux réfléchir sur des résolutions durables. Soyons patients, ça arrive ce bout du tunnel…
Les insuffisances de plusieurs disciplines sportives aux Jeux de la Francophonie ont juste réussi à ressortir un encadrement faible et moins profond des athlètes et un cadre sportif nocif depuis la nuit du temps qui limitent les résultats croissants. L’arrivée de François Kabulo qui s’en remet entièrement à la vision du Chef de l’Etat est entrain d’engendrer des nouveautés qui vont rendre ces disciplines plus compétitives à la longue. Les Jeux congolais sont la solution palliative et transformatrice des sports congolais simplement grâce à l’avènement de François Kabulo à la tête de ce secteur aux grands enjeux.
Le sport est un vecteur de développement durable d’un État également. L’organiser et mettre des moyens nécessaires autour, engendrera des ressources, des résultats qui vont servir plus loin au projet de développement local 145 territoires et d’autres programmes de développement du pays à la base.
En définitive, il est important de reconnaître que le temps donné à François Kabulo est assez court et au regard des résultats favorables ce jour, tout un peuple lèvera sa voix pour solliciter la poursuite à la tête d’un secteur aussi large, un tel ministre des sports et loisirs qui ne fait regretter à personne le choix porté à son égard par le Chef de l’Etat.
Josué Lelo, journaliste/ analyste sportif